Vol.22, N°5 (2023) - Article 11
Aménagement urbain et catastrophe naturelle dans la commune du 9ième arrondissement de N’Djamena au Tchad
L’aménagement de la ville de N’Djaména constitue un problème réel. L’objectif de cette étude est d’analyser les aménagements afin de proposer les recommandations aux habitants à faire face aux épisodes climatiques dans les années futures. L’étude s’est basée sur une approche méthodologique classique à savoir l’observation directe de la zone afin d’évaluer l’impact de l’inondation sur les infrastructures, l’enquête de terrain auprès de 120 ménages pour collecter les données approfondies sur les ménages affectés par les inondations, les acteurs impliqués dans l’aménagement, la recherche documentaire, les analyses et traitement des données pour aboutir à des résultats. Il ressort des résultats que les habitations implantées dans les zones marécageuses sont exposées aux catastrophes naturelles telles que les inondations. En effet, 85 % des 120 enquêtés ont déclaré leurs infrastructures détruites par cet aléa. Sur la même base d’échantillon, 73 % des enquêtés se sont déplacés et 83 % ont perdu leurs animaux domestiques et arbres. L’inondation de la ville de N’Djaména a causé de nombreux dégâts matériels, humains et environnementaux. Les actions concertées de tous les acteurs dans l’aménagement de cet espace sont nécessaires pour le bien être de la population.L’aménagement de la ville de N’Djaména constitue un problème réel. L’objectif de cette étude est d’analyser les aménagements afin de proposer les recommandations aux habitants à faire face aux épisodes climatiques dans les années futures. L’étude s’est basée sur une approche méthodologique classique à savoir l’observation directe de la zone afin d’évaluer l’impact de l’inondation sur les infrastructures, l’enquête de terrain auprès de 120 ménages pour collecter les données approfondies sur les ménages affectés par les inondations, les acteurs impliqués dans l’aménagement, la recherche documentaire, les analyses et traitement des données pour aboutir à des résultats. Il ressort des résultats que les habitations implantées dans les zones marécageuses sont exposées aux catastrophes naturelles telles que les inondations. En effet, 85 % des 120 enquêtés ont déclaré leurs infrastructures détruites par cet aléa. Sur la même base d’échantillon, 73 % des enquêtés se sont déplacés et 83 % ont perdu leurs animaux domestiques et arbres. L’inondation de la ville de N’Djaména a causé de nombreux dégâts matériels, humains et environnementaux. Les actions concertées de tous les acteurs dans l’aménagement de cet espace sont nécessaires pour le bien être de la population.